Le croissant est, avec la baguette, le camenbert et le béret l’un des symboles de la France.
Pourtant, contrairement aux idées reçues, le croissant n’est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne.
Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683. « Les Ottomans étaient prêts à attaquer la ville tôt le matin. Il avaient commencer à creuser des tunnels », raconte Olivier Poels. « Mais les boulangers, levés de bonne heure, ont entendu le bruit et donné l’alerte, empêchant la prise de la ville ».
Pour célébrer cette victoire sur les Ottomans, les boulangers de la ville auraient alors fabriqué une pâtisserie en forme de croissant, emblème turc, comme un pied de nez aux vaincus. La pâtisserie devient par la suite très populaire à Vienne (mais sous une recette différente de celle consommée aujourd’hui).
Des spécialités de Vienne
Le croissant débarque en France avec Marie-Antoinette d’Autriche, dans les années 1770. L’épouse de Louis XVI le rapporte dans ses bagages, ainsi que d’autres spécialités viennoises, d’où l’appellation de viennoiseries.
Les protéines sont les nutriments bâtisseurs de notre organisme. Nous en avons besoin pour fabriquer nos os, nos muscles, notre peau, nos ongles, nos cheveux mais aussi nos enzymes, nos anticorps et bien d’autres molécules. C’est pourquoi, nous devons les retrouver au quotidien dans notre assiette.
La viande est souvent considérée comme un aliment incontournable pour faire le plein de protéines. Il existe bien d’autres aliments d’origine animale riches en protéines comme le poisson ou les œufs ou même les coquillages et crustacés. Les protéines animales sont des protéines dites complètes, c’est-à-dire qu’elles contiennent tous les acides aminés essentiels, ceux que notre corps ne sait pas fabriquer et que nous devons par conséquent retrouver dans notre alimentation.
On retrouve également des protéines dans les végétaux. Les légumes secs en sont une bonne source ainsi que les graines (chia, courge, chanvre…), les fruits à coque (amandes), les cacahuètes sans oublier le soja.
Les protéines végétales sont quasiment toutes incomplètes (absence d’un acide aminé essentiel). Mais la nature étant bien faite, en associant un légume sec et une céréale, on retrouve l’ensemble des acides aminés.
C’est ce que tous les peuples ont pratiqué depuis des millénaires sans preuve scientifique. Ces peuples n’avaient bien souvent pas les ressources ou les moyens de mettre de la viande ou du poisson au menu tous les jours. Les exemples sont nombreux. Au Maghreb, la semoule et les pois chiches du couscous ; le riz et les lentilles en Inde ; le maïs et les haricots rouges en Amérique latine.
Quelle protéine choisir alors ? L’idéal reste un apport équilibré entre protéines végétales et animales.
Les féculents, riches en glucides, constituent l’une des premières sources d’énergie pour notre organisme. Ils sont indispensables, et à condition de les consommer en quantités raisonnables et de bonne qualité, ils ne font pas grossir.
On privilégiera les féculents à index glycémique bas comme les légumes secs, le quinoa, le riz et leurs versions complètes plutôt que raffinées. Ainsi, ils seront rassasiants et éviteront le grignotage.
Il faudra également veiller à les associer à des légumes, mais par contre éviter de les consommer avec du pain.
Manger un fruit ou boire un jus de fruit, c’est pareil ?!
Faux !
Les fruits sont riches en fibres, minéraux, vitamines et antioxydants. Ils contiennent également du sucre (le fructose). Quand on presse ou mixe un fruit, on perd beaucoup de ses bienfaits. Les fibres qu’il contient sont détruites, augmentant considérablement l’index glycémique. La vitamine C, en contact avec l’air, va être dégradée. Généralement, quand nous consommons un jus de fruit, nous consommons beaucoup plus qu’une portion de fruit. Un verre de jus d’orange contient environ 3 à 4 oranges, soit environ 50 à 60 g de sucre. Pour votre santé, mangez des fruits mais entiers.
Classification botanique : la tomate est un fruit.
Un botaniste classera la tomate parmi les fruits, car la tomate contient des graines et pousse à partir de la fleur du plant de tomate.
D’autre part, en termes botaniques, il n’existe pas de définition établie des « légumes ». Il s’agit plutôt d’un terme général englobant toutes les autres parties comestibles de la plante, comme les racines, les tiges et les feuilles.
Ainsi, avec un chapeau de botaniste sur la tête, nous classerions les aliments tels que les pommes, les fraises et les pêches parmi les fruits, y compris les tomates !
Classification culinaire : les tomates sont des légumes.
Un nutritionniste ou un cuisinier définit les fruits et légumes d’une manière différente car il se base sur la manière dont les plantes sont utilisées et leur profil de saveur.
Un légume a généralement une texture plus solide, un goût plus fade et doit souvent être cuit dans des plats tels que les ragoûts, soupes ou sautés tandis que les fruits ont une texture plus moelleuse, ont tendance à avoir un goût sucré ou acide ; ils sont souvent appréciés crus ou dans les desserts ou confitures.
Les tomates peuvent être juteuses, douces et appréciées crus mais comme le plus souvent les tomates sont utilisées dans des plats salés, en cuisine, on classe les tomates parmi les légumes.
En effet, avec une fourchette, on aura tendance à piquer une grande quantité de nourriture et donc à finir son assiette très rapidement. On estime que l’on place moitié moins d’aliments dans une main que sur une fourchette!
Mais quel est l’intérêt de manger lentement? Il faut environ 20 minutes au cerveau pour recevoir l’information qu’un aliment a été ingéré, c’est à dire que le niveau de satiété ne peut être atteint seulement au bout de ces 20 minutes. Lorsque l’on mange avec ses doigts et que l’on prend le temps de bien mâcher les aliments, on peut ainsi arrêter de manger dès que le niveau de satiété est atteint. Au contraire, en mangeant vite, on peut continuer à manger alors qu’en réalité notre appétit et déjà satisfait!
Manger avec les mains optimise le processus de digestion
En saisissant les aliments avec ses doigts, on transmet un certain nombre d’informations au cerveau, qui va ensuite les transmettre au système digestif. Ce dernier pourra s’adapter en fonction de la température des aliments mais aussi de leur texture. Ainsi, l’organisme va pouvoir préparer les organes digestifs pour faciliter l’assimilation de chaque bouchée.
Manger avec les mains donne un meilleur goût aux aliments.
En Inde et dans de nombreux pays d’Asie, manger avec ses doigts est une pratique traditionnelle. Cela permet d’exalter les goûts des aliments et de dégager toutes leurs saveurs en les répondant sur les lèvres, la langue et le palais en stimulant toutes les papilles gustatives. En ajoutant le toucher, on ajoute un sens, et donc une profondeur à notre expérience gastronomique.
NB: manger avec ses mains, c’est bien, mais il convient de suivre quelques règles d’hygiène élémentaires. Il est indispensable de se laver les mains avant chaque repas afin d’éliminer un maximum de bactéries.
Une brève histoire de la fourchette:
La fourchette est aujourd’hui un objet banal, mais elle a été inventée et pensée dans le but de saisir les aliments sans avoir à les toucher avec les doigts. Véritable objet de luxe et principalement utilisé par la noblesse, cette petite fourche a mis plusieurs siècles avant de véritablement se démocratiser.
Manger avec ses mains présente d’autres avantages:
On favorise un mode d’alimentation lent et conscient (slow food)
C’est meilleur pour l’environnement, car pas de vaisselle à faire!
Du côté des inconvénients:
Manger avec ses doigts ne s’applique pas à tous les types de plats comme par exemple la soupe, la purée ou les pâtes.
Certaines recettes épicées peuvent « salir » les mains voire présenter un risque (le piment irrite la peau). Il est indispensable de se laver les mains après un tel repas pour éviter de se frotter les yeux avec des restes de piment sur les doigts par exemple.
On évite de se brûler la langue, car les doigts sont les premiers à entrer en contact avec la nourriture
La fourchette ‘intelligente » est une invention française que l’on doit à Jacques Lépine. L’idée lui est venue quand il s’est rendu compte qu’il avait tendance à manger trop vite.
Que faire ? Eh bien, tout simplement inventer une fourchette qui se met à vibrer quand la cadence est trop rapide!
C’est la technique de la détection captive qui est utilisé. Il s’agit de la même technique que celle utilisé pour les boutons tactiles des plaques de cuisson.
C’est ici la tête de la fourchette qui va détecter le contact avec la bouche. La technique est assez simple, mais il fallait y penser. Lorsque l’on mange, les lèvres touchent la tête de la fourchette ou de la cuillère.
Lorsque le couvert détecte le contact avec la bouche, un calculateur vérifie si la durée écoulée depuis la bouchée précédente est suffisante.
– Le temps est suffisant : rien ne se passe
– Le temps est trop court entre les 2 bouchées : Le couvert averti l’utilisateur par une légère vibration.
Un signal lumineux aide aussi l’utilisateur pour lui indiquer si le temps entre 2 bouchée est bien respecté.
— La race blanche, la plus parfaite des races humaines, habite surtout l’Europe, l’ouest de l’Asie, le nord de l’Afrique, et l’Amérique. Elle se reconnaît à sa tête ovale, à une bouche peu fendue, à des lèvres peu épaisses. D’ailleurs son teint peut varier.
— La race jaune occupe principalement l’Asie orientale, la Chine et le Japon : visage plat, pommettes saillantes, nez aplati, paupières bridées, yeux en amandes, peu de cheveux et peu de barbe.
— La race rouge, qui habitait autrefois toute l’Amérique, a une peau rougeâtre, les yeux enfoncés, le nez long et arqué, le front très fuyant.
— La race noire, qui occupe surtout l’Afrique et le sud de l’Océanie, a la peau très noire, les cheveux crépus, le nez écrasé, les lèvres épaisses, les bras très longs. »